Étaient présents :
Pour les IPR : M. Langlois (IPR doyen), M. Brasselet (IPR, conseiller auprès du recteur pour les questions pédagogiques),
Mme Fellahi, MM. Doublet et Lippold.
Pour le SNES : Gwenaël Le Paih, Thérèse Jamet-Madec, Frédérique Lalys, Françoise Gibert et Joël Mariteau.
Présentation introductive de Gwenaël Le Paih, secrétaire général du SNES Bretagne,
à propos de la demande d’Audience auprès de l’Inspection.
Le SNES se préoccupe du métier, des programmes et des élèves et organise des stages syndicaux ouverts à
tous les collègues, comme le stage Langue Vivante, le stage collège ou encore le stage Histoire-Géographie en
septembre 2011, pour lequel nous avons convié Patrick Clastres de l’IEP. Ce stage a été un temps fort d’information
à destination des collègues, sur l’évolution de la recherche en histoire et le renouvellement historiographique. Il a
également permis un débat animé. C’est justement l’un des objectifs que s’est assigné le SNES : libérer la parole
des collègues. Les débats pédagogiques -qui traversent légitimement le SNES et la FSU- permettent notamment
de faire vivre les disciplines auxquelles nous sommes attachés. Les stages sont un moment d’écoute des collègues.
Le SNES entend mettre à profit sa légitimité issue des élections professionnelles -qui en font le syndicat
majoritaire- pour porter la parole des collègues auprès de l’Inspection.
Le SNES affirme son attachement à l’évaluation pédagogique et son refus des projets de texte Chatel sur l’évaluation
par le seul chef d’établissement. Attaché au principe de l’analyse des pratiques lors de l’inspection, le SNES
revendique le découplage entre évaluation et avancement, pour faire de l’entretien un moment de formation,
d’échange et d’analyse de la pratique professionnelle. Le SNES a d’ailleurs engagé un travail sur le « métier »
avec le CNAM (stage syndical le 24 mai à Rennes).
Les collègues de collège et de lycée expriment des doutes et des inquiétudes quant aux nouveaux programmes :
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