Les PAFistes (policiers de la police de l’air et des frontières) arrêtent un lycéen en pleine activité scolaire et le Recteur n’a toujours pas pris position. Julio est toujours privé de liberté d’étudier


Samedi 8 mars à Rennes Journée d’action régionale (grand ouest ) en solidarité avec les personnes sans papier


Un lycéen menacé d’expulsion

Le SNES Ille et Vilaine appelle l’ensemble des collègues qui le peuvent à participer au rassemblement demain vendredi 7 Mars à 12h30 devant la Préfecture de Beauregard.

Nous vous appelons à utiliser les listes de diffusion qui existent dans les établissements pour informer le maximum de collègues, ainsi que les panneaux d’affichage des établissements.

Nous appelons l’ensemble des collègues à participer à la manifestation de soutien aux sans papiers qui aura lieu samedi 8 mars en 2 temps :

* 13h30 rassemblement devant le centre de rétention à St Jacques de la Lande -

opération escargot de 15 heures à 16 heures depuis le centre de rétention jusqu’à la piscine bréquigny.

* 16h manifestation à Rennes, rassemblement devant la piscine de Bréquigny pour aller en cortège à la Préfecture.

La section académique de son côté est intervenue auprès du Recteur dès cet après midi, l’élève est mineur, scolarisé (donc non expulsable) dans un établissement de l’Académie donc sous sa responsabilité, il doit prendre position !!!!

TOUS ENSEMBLE NOUS POUVONS FAIRE RECULER LE PREFET POUR QUE JULIO PUISSE POURSUIVRE SES ETUDES AU LYCEE VICTOR ET HELENE BASCH A RENNES.


18 mars : grève dans l’éducation nationale à l’appel de l’intersyndicale

Les organisations syndicales de second degré SNEP-Fsu, SNES-Fsu, SNUEP-Fsu, SNFOLC, SUD-EDUCATION, UNSEN-Cgt, se sont réunies le 15 février.

Elles font le constat qu’aucune réponse n’a été apportée à leur exigence de discussions sur la revalorisation du métier enseignant. Le ministre de l’Education Nationale n’a pris aucune distance vis à vis du rapport Pochard, porteur de dangers pour les statuts et les missions des enseignants. Elles considèrent que ce rapport ne peut en aucun cas être une base de discussion.

Dans le même temps l’insuffisance du budget 2008 aboutit à des suppressions massives de postes et de moyens pour la prochaine rentrée dans de très nombreux établissements, (11.000 pour la rentrée 2008, 80.000 d’ici 2012). Il met en péril l’organisation des enseignements dégradant les conditions de travail des personnels et des élèves, et porte atteinte à la qualité du service public d’enseignement. Ce constat s’inscrit dans un contexte très général d’attaque contre les salaires, les retraites et les statuts de tous les fonctionnaires.

Enfin, les organisations syndicales rappellent leur attachement aux trois voies distinctes de formation, Générale, Technologique et Professionnelle, et leur refus de la généralisation des baccalauréats professionnels en trois ans que veut imposer le Ministère et qui conduirait en particulier à la disparition des sections de BEP.

Dans l’immédiat elles soutiennent les actions d’établissement et locales qu’elles appellent à poursuivre et à développer avec un souci permanent d’initiatives unitaires, de contacts avec les parents, d’interventions publiques et auprès des élus, pendant la période de février et début mars.

Elles appellent les personnels à participer massivement à la journée de grève et de manifestations du 18 mars et à se réunir pour débattre des suites afin de porter les revendications pour l’emploi public dans l’Education contre les suppressions des postes et le recours massif aux heures supplémentaires, pour une revalorisation du métier enseignant respectueuse des statuts, une consolidation des trois voies de formation en lycée (générale, technologique, professionnelle).


Sauvegardons la laïcité de la République

Texte qui a été initié et signé en particulier par le SNES et la FSU désormais en ligne et qui peut être signé par tous individuellement. En réponse aux atteintes à la laïcité portée par « celui dont on ne doit plus prononcer le nom » lors de ses discours de Latran et de Ryad en particulier.

Signer la pétition