Le scandale des affectations post-bac a amené le gouvernement a vouloir réformer les règles d’admission dans le supérieur, plutôt que de poser comme préalable le manque de places, il préfère remettre en cause l’accès des bacheliers aux études de leur choix. Ce même prétexte est utilisé pour avancer vers une réforme du baccalaurat remettant en cause le caractère national de l’examen et sa valeur comme 1er diplôme du supérieur. Evidemment cela s’accompagnerait d’une réforme d’une nouvelle réforme du lycée dont on a tout à craindre dans un contexte ou la seule logique qui fait force est la logique comptable.
Les 1res annonces devraient arriver le 13 octobre... à suivre de très près.
26 septembre 2017