Les réformes Macron sont assénées à marche forcée, sans concertation ni écoute de la part du gouvernement ; pour ce qui nous concerne : - nème remodelage du DNB, - réforme du lycée et du baccalauréat, - modalités Parcoursup’. Cela dans un contexte de réduction des postes et de sacro-saint équilibre budgétaire.
Les prévisions de DGH, l’annonce de la grève du 6 février, l’approche du Congrès académique du SNES-FSU (20/21 février) puis du Congrès national à Rennes (26-30 mars) doivent être l’occasion de discussions, de critiques et de propositions. Il faut se réunir entre adhérent.e.s du SNES-FSU et avec tous les collègues dans les établissements, faire remonter les idées, faire savoir ce que nous souhaitons.
Il est important de montrer que nous sommes compétents et suffisamment experts pour évaluer les manques du système scolaire et formuler ce que devraient être de véritables réformes profitables à nos élèves et à nous-mêmes.
Programmez des réunions, des heures d’informations syndicales !
Faites appel si nécessaire aux militants du S2-35
30 janvier 2018